merci Joe, quand ça te viendra...
j'aime bien ce poème, qui mêle l'évocation sensible de souvenirs de voyage à l'Histoire, sans oublier les meurtrissures intimes de la passion que lui inspira George Sand... ils étaient de jeunes amants à Venise (elle un peu moins que lui mais à peine), elle tomba malade, puis lui, sérieusement, et elle le veilla patiemment, non sans s'envoyer le médecin qui venait le soigner, dont elle fit son nouvel amant... ainsi les vers :
Là mon pauvre cœur est resté.
S'il doit m'en être rapporté,
Dieu le conduise !
et ceux qui suivent...