ce sont des picking d'autodidacte, et puis c'est la main qui décide... elle est sympa en effet, avec ce petit flottement qui me permet de passer sans trop de casse pas mal de trucs...
(des fois, si c'était possible, j'aimerais bien qu'on échange les trucs dont on est incapables...
)
là, le strum, je le sentais pas trop... mais j'y songe...
sinon, je voulais dire à propos du texte magnifique de Jérôme :
c'est un monologue intérieur... où l'on s'aperçoit que ce qui a pu faire souffrir fait quand même moins souffrir que ce qui aurait pu carrément détruire... il y a une forme de reconnaissance teintée d'abord d'amertume qui petit à petit disparait pour devenir une sorte d'offrande de nostalgie pure et positive... l'amour, quoi...et d'ailleurs, le voici :
Quand je songe aux beaux mensonges,
Qu’en vérité, sans hésiter
Tu débitais.
De si beaux mensonges que même en songe,
Je ne peux rêver de vérité
Mieux arrangée.
Ces beaux mensonges sans pause, sans trêve
Et sans entrave comme dans un rêve
Tu me les offrais.
Mais qu’ai-je fait pour mériter, en vérité, la vérité ?
Ce mal qui ronge, bien plus sûrement,
Que tes mensonges.
Comme tu m’aimais pour me mentir,
Comme tu mentais quand tu m’aimais.