Ah, on approche du point godwin, luko, tu prends au filet ?
Et je croise en fond de court.
De toute façon, Val, c'est juste un nazi réfugié dans la campagne poitevine pour échapper au tribunal de Nuremberg. Si tu regardes bien, sa vie ressemble en tout point à celles des allemands en Amérique du Sud.
Il écoute Wagner en cultivant ses rosiers. On t'a reconnu Valerius von Wilden !