, il ne laisse rien à l'imagination de l'auditeur
t'as jamais rien imaginé en écoutant ne me quittes pas, les bonbons, les vieux, les flamandes, ces gens là, madeleine, au suivant, jef, le putain de plat pays ??
... tu mens...
chaque chanson est peinte en grand, en immense... alors oui, effectivement, ça s'écoute un peu religieusement, et ça en fait des tonnes... c'est pas du bénébar, quoi...
ses arrangements étaient déjà ringards en 1960...
et déjà en 1960 il devait être bon ton de les critiquer dans les mileiux intellectuello-branchouilles
mais bon, moi je trouve ça moins pire que Ferré ou Brassens, il y a un côté ''léger et marrant'' dans cette démesure qui dégouline à tous les étages... un peu comme quand luko fait son méchant homophobe nazi, le contraste donne quelque chose de finalement drôle
lui, timide et raffiné, et cette grosse soupe pompeuse qu'il balance partout en jouant son rôle de clown triste
faut pas prendre Brel au premier degré les gars