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Mull of Kintyre (Régis & Régine)

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JAZZ'o-Fils:
Bonsoir,

Ce titre de Mc Cartney et ses ailes sorti en 1977, je l’ai entendu pour la première fois à Larnaca, en prenant mon petit dèj avec le bleu de la méditerranée juste devant les yeux !
A l’époque, Les cornemuses, les brumes du bout de l’écosse, ça m’a fait rire, même si à Chypre il y a une forte proportion d’Anglais, et même un golf tout vert au milieu de la sécheresse !

Régine   :-*  nous a trouvé cette vidéo de la péninsule de Kintyre prise d’un drone.
Ah, la mer est belle, mais il ne faut pas s’y tromper, cela doit être sauvage l’hiver. J’imagine les déferlantes monter à l’assaut des falaises.
Voyez aussi cette énorme corne de brume qui dépasse du toit du petit bâtiment devant le phare, au ras de la falaise….

                                                   o0o

Régine : Chant
Régis : Chant, ukulélés handmade : Santo, Vita2, Maka1, Maka4 et banjolélé Weymann, guitare basse, harmonica, mélodica.


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Noctiluke:
J'ai toujours adoré ce titre! J'imagine que Macca a voulu immortaliser quelques souvenirs heureux de vacances...
C'est un peu son "lac du Connemara" à lui quoi :P
Evocateur sans être caricatural et bien agréable à écouter en tout cas!
Bien joué l'harmonica pour évoquer les cornemuses et jolies harmonies vocales comme d'habitude.

bernie:
sons et lumières !!
voix, instrumentaux (joli tremolo !) arrangements et images..
c'est un plaisir total  :)

Olive Thom:
Cet air relate la nostalgie du vieux temps passé sur cette belle ile verte.
La nostalgie est peut-être une chose anti philosophique qui ne fait en rien progresser (mon prof de philo que j'aimais pourtant bien la haissait par dessus tout, tout comme la photographie qui selon lui figeait le temps...), mais elle révèle un sentiment d'une puissance presque inégalée. 
Les anglo saxons croyait jadis que plein de créatures étranges peuplaient leurs terres.
Et bien ici en la présence de R & R, nous avons bien un magicien et une fée nous berçant de ce si profond et poignant sentiment.

Valéry:
Il faudrait vraiment faire sa tête de Mull pour ne pas aimer.

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