Petit retour d'expérience pour rectifier le tir sur toutes les bêtises que j'ai proférées
à propos de l'huile.
Je n'avais pas bien lu les instructions : je passais l'huile au pinceau... et je laissais reposer sans essuyer avec un chiffon... D'où le résultat rappelant celui d'un vernis que j'évoquais, mais surtout l'accumulation, les coulures, les bavures...
Du coup, j'ai tout poncé (un comble, alors que c'est justement par crainte d'attaquer le bois que j'avais procédé autrement !), et j'ai fait comme monsieur Gérard a dit.
Eh ben, vous n'allez pas me croire : c'est beaucoup mieux !
J'en ai profité pour changer les mécaniques dorées par des chromées, qui vont tout de même mieux avec la plaque de protection.
J'aimais bien les boutons noirs, mais les blancs sont assez élégants, finalement.
Et pour finir, un petit truc si jamais vous vous retrouvez dépourvu, comme moi, devant les vis carrées fournies avec la quincaillerie :
Pourtant, j'en ai, des embouts et des tournevis...
Au final, un clou, une lime à métaux, et hop !
N'oubliez pas non plus de limer les encoches ou se bloquent les cordes.
Sinon ça coupe. Et ça pète.
(Une petite perle peut rendre service aussi.)
Ah oui, et puis j'ai fini par mettre des Worth Brown.
Je n'aimais pas du tout le toucher des D'Addario.
Et puis, maintenant, j'ai un vrai son de réso.
C'est plus métallique, mais ça a aussi plus de personnalité, du coup. Je préfère.
Voilà voilà, merci de m'avoir lu jusqu'au bout. Je tenais à poser ces précisions pour la postérité.
