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Xavier01 Merci pour ce travail (avec le texte joint, traduit et commenté), quel phrasé, tu as du tomber dedans petit.
Bien dans le thème, avec ce gars qui doit partir très très loin, puis revient, puis repart encore plus loin. Et tout qui part, sauf le pub.
Je crois qu'il faut avoir un petit côté irlandais pour bien apprécier ce bazar (jusqu'à l'avoir écouté 4000 fois, comme Mastomo, sans vraiment comprendre).
Mince, je suis un peu d'accord avec Luke-o, le cajon de Samir sonne trop caisse claire (et pas assez boisé) à mes oreilles.
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soledad, qui n'est pas de Lyon (Em6), et n'est plus de Paris.
Elle habite près d'une grande ville de province où il y a une guinguette éphémère et pleins de recoins sympas sur les bords de la rivière.
Bon, est-on dans le thème ? (désolé bernie, on est ici dans le jeu-thème). Si, si tomber amoureux, quand on a douze/treize ans, est la fin de quelque chose (comme dans le superbe 'un été' de Nougaro) et que rien ne sera plus comme avant (le cœur craquant des cendres de l'été).
Moonrise swing, c'est un swing. Pas de traduction. Deux enfants, 24 ans à eux deux, un scout et une douce émotive, se rencontrent, une nuit d'été 1965, sont vite séparés, alors ils s'écrivent, c'est donc 'two kids who fell in love'. Celà se passe dans un lieu imaginaire (island of New Penzance) du Moonrise Kingdom, film de 2012 de Wes Anderson, avec deux enfants Sam et Suzy, qui tombent amoureux.
Soledad aussi, semble sortir d'un conte de fée, assise sur un banc rose (dommage le fil électrique derrière). Une voix qui va superbement à ce style swing.
Un petit tremblement de terre a secoué sur notre bac à sable, à 19h34, avec le mot
étron qui est apparu. On a tous frissonné en se souvenant du Trapèze Volant de Nino Ferrer :
"Aujourd'hui nous avons le grand Roi Pognon
Et tout ce qu'il touche se transforme en étron"Je remercie Luke-o de ne pas avoir pensé au Roi du jeu-thème de ce mois de septembre...