Tu as globalement compris comment fonctionne un oukoulélé. Bravo !
Exceptée la notion d'accord ré-entrant, mais ce n'est pas grave, l'esprit est sauf.
Et la vie nous impose le concept de faisabilité.
Par contre, pour le Motu, l'esprit renâcle. Un instrument made in France découpé à la CNC
par un manutentionnaire au SMIC (ou moins ?), ça ne correspond pas à l'esprit ukulélé, c'est identique à un instrument chinois importé sous dix marques occidentales. Loin de moi de critiquer l'industrialisation qui permet aux pauvres d'accéder à leur représentation des riches, mais sur un plan moral, il serait déontologique d'avoir une traçabilité honnête plutôt que de se revendiquer artisanal.
