What a wonderfull world effectivement quand on s'imagine danser un slow dans tes bras, Régine !
Entendu au casque au boutot.
Je ne sais pas si c'est le casque, je réécouterai mieux à la maison, mais l'arpège ukulélé semble chouette mais très lointain.
J'ai adoré la légèreté de ta voix cherchant l'émotion à son paroxisme, créant presque une sensation magnifique et émouvante de fragilité, mais je parle ici de la fragilité d'un cristal rare et très très fin. C'est beau !
Je travaille dos à dos avec une collègue plutôt très jolie...
J'ai failli l'attraper pour danser le slow...
Donc tu vois, pas d'heure pour un slow !
Merci pour cet instant de grande tendresse !