Marcel, je t'embrasse, Béranger des années que je ne l'avais pas entendu (la dernière fois c'était à un concert de Sanseverino qui lui rendait "hommage", Voir Jonathan
).
Et tu y mets une sacrée ambiance en fond sonore,
Le petit bonus à MArcel : tenir sur le premier Mai.
Viva la révolucion !
Par les moustaches de Sancho Pansa