Ooooooooooohhh...
J'ai écouté plusieurs fois hier soir, mais bon, y'avait encore des neurones et jus à ce stade-là pour comprendre et écrire quoique ce soit...
Déjà, je trouvais ça magnifique: oh la féline Milton, ça carbure sec ce mois-ci dites donc! à quoi?
Pourtant je suis partie exprès enquêter sur place, la ligotant par le flot légendaire de mes mots afin de l'avoir toujours à l'oeil mais je l'ai vue surtout boire des infusions. Bio. à un niveau avancé de rigolade endurante, nous nous sommes certes demandé si c'était pas Joe qui nous en avait envoyé une mais après lui avoir demandé, il semble que non.
ça te va très très bien aussi ce registre tout en douceur et en retenue, c'est fin et subtil... bien enraciné dans plein de bonnes références, et très approprié...wow!
Je crois que c'est une de tes chansons les plus abouties dans ce que j'ai entendu de toi jusqu'à présent. Parce que pour être aussi dense et léger dans ce dénuement, walaye, ça ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval. Magnifique!!!
Héééé!!! Dukdüdodoh! Hier soir j'ai même pas tilté que c'était de toi!
Bon, d'accord, je ne suis même plus dans un état proche de l'Ohio, j'en suis carrément du côté du Why-'o-Ming.
Mais quand même: je me suis dit"ouh là là, mais d'où qu'elle a été chopé ça encore la Milton, je connais pas du tout, c'est super, c'est de qui, faut que je demande demain".
Rhôlalalalaaaaaa.... fu impressionée....
C'est pas comme si je ne connaissais pas ton écriture, pourtant.
(vrai ça fait kektemps je suis pas passée sur ton blog et que je sais sur quels textes j'ai fait fixette..)
Oui, vraiment beau texte et pareil, fin sur les sonorités.
Rhôôô trop bien! Je suis fan et en plus c'est les Koupaings!
Merci les chéris!