Disons tout simplement qu'à l'économie, la facilité, les examens, l'ordre établi et les objurgations, je préfère la diversité bordélique, le joli maquis des langues de mes voisins du monde, la tranquilité d'une incompréhension amicale et le lent apprivoisement mutuel des uns et des autres.
ah, si. si par hasard il existait un espéranto musical qui caduquerait le solfège européanno-classico-sclérosé-sur-trois-siècles-de-traditions-mais-prétendant-à-l'universalité (et dont l'apprentissage soigneux, dixit RiCoO qui s'y connait, laisse en cours de route un grand nombre d'apprenants studieux), je suis preneur.