@plouf
Cette rencontre n'a pas de nom, ni de fréquence, ni de lieu attitré.
La fille du bar, en arrivant à 17h30 :
"Vous allez venir tous les Samedi (c'était le troisième) ?
Je dis ça parce qu'un jour on va redémarrer notre programmation (accueil culturel subventionné), et aussi il y a des gens prioritaires (qui viennent depuis 4 ans) qui peuvent réserver la salle à l'étage.
Alors peut-être qu'un jour vous allez arriver et on vous dira que c'est pas possible de venir consommer en chantant, faudra pas le prendre mal.."
Ils sont gentils, la preuve c'est qu'ils ne demandent pas le pass. Et les boissons ne sont pas chères, et solidaires. J'ai découvert hier le Kefir bio au citron.
@Em6
Ce sera davantage répétition quand on aura un point de mire (une date de scène ouverte ou d'animation).
Mais on fait la plupart des titres plusieurs fois, on cherche la bonne tonalité.
Des filles découvrent les chansons (c'est qui Enzo Enzo ? c'est qui Alia Souza ? je ne parle pas de "l'amour qui marche" ni de "Nomade"). Elles connaissent "le lion est mort ce soir", déjà pas mal.
On était dix.
Merci aux neuf qui sont venus de ne pas avoir préféré "restau" ou " terrasse", de ne pas avoir eu un léger coup de fatigue ou mal aux dents, de ne pas avoir eu son chien malade, de ne pas avoir eu un ouvrier à la maison, de ne pas avoir oublié l'heure, de ne pas avoir eu un GPS en panne, de ne pas avoir du aller à l'anniv du pote de son pote, de ne pas avoir allumé la télé, de ne pas avoir dit simplement "a quoi bon".
Quand à moi, je me souviens des mots de Francis Lalanne en 1985 "il faut chanter, mais aussi mener un combat sans merci et incessant pour le faire", d'un autre, plus tôt "lève toi et marche".
@bernie
Seul ukulele, pour l'instant.
J'ai prêté un ukulele à Caroline, depuis un mois.
Je demande chaque fois à Coop s'il a sorti le sien de sa house.
Dany en a acheté un, mais elle avait un ouvrier à la maison