Bon, alors, promis pour midi, mais décalage horaire oblige, livré à 10 h
Où on en était ? Ah oui, une sirène qui rêve perdue dans la mousse, un marin sur une coque de noix, on se doute bien que ces deux là sont appelés à se rencontrer, surtout à l'acte trois d'un opéralélé qui se respecte, et surtout au beau milieu de l'océan Pacifique, qui, comme on sait, est si petit pour ceux qui s'aiment d'un si grand amour... mais souvent, pour réaliser de grandes choses, on a besoin d'un plus petit que soi... comme par exemple un petit coup de pouce, pardon, de plume, de la part d'un serin du destin !
Et attention, rien n'est jamais acquis à l'homme (ni à la sirène), et le serin sifflote parfois deux fois... alors gare au destin farceur....
bon assez bavardé, allez, raconte, Triton !!