Aïe aïe aïe aïe !!!
Ce pauvre homme grenouille s'est bien transformé avant de revenir lui-même !
Et puis j'aime bien ce côté burlesque, on prend le monde, on le secoue, on mélange tout, pour en ressortir d'étranges croisements.
Merci de tout cet onirisme, c'est rafraîchissant.