il est toujours question de la prouesse et des progrès de ces petites machines, mais du coup un point est toujours (enfin, on va dire "souvent", parce que j'ai pas tout lu tout vu sur le sujet) laissé de côté : le chemin qu'on fait en dessinant, en jouer de la musique, en inventant des histoires...
même si la machine peut faire mieux que moi, ce dont je ne doute pas, lui confier le soin de produire l'oeuvre que je désire me privera du plaisir de cheminer avec mon idée, de devoir chercher moi-même des solutions quand ce que je fais me déçoit, et de me réjouir quand, par surprise, j'arrive à un truc que je n'attendais pas.
bref....