Bon, on va attendre que le soufflé retombe et voir si un journaliste ose écrire une ligne sur ces bourgades où le soir du massacre des voitures défilèrent en klaxonnant et où fleurirent des drapeaux aux fenêtres comme un soir de coupe du monde. Qu'est-ce qu'on fait avec la connerie galopante, à part manifester comme un seul homme sous le coup de l'émotion médiatique ?
Ouais, un pays de couilles molles aveugles.