@Arnal :
Et hop, d'entrée,
mention spéciale cours de danse magistral !Mais quelle compo géniale !

Tu nous impressionnes, vraiment.
Les paroles sont tellement 'denses', riches, vivantes, amusantes...
C'est un fourmillement d'idées, de détails, de couleurs, d'odeurs, un assemblage malin de différentes caricatures de personnages.
On s'y croirait à ce cours de danse, avec la prof toute musclée et sèche, l'argentin qui ne sait pas danser, le gros qui rebondit et part en arrière... et 'toi'...
C'est vrai, dans le texte, y'a du Brel, de l'Higelin, de l'Azenavour, et de l'Arnal, ce grand poète...
Avec ta musique variée, démarrant par un léger arpège (début de la leçon, premiers pas tranquilles), finissant dans un tourbillon de danse, en explosion jazzy comme un feu d'artifice, lorsque tu enlaces 'toi' et plonge ta main vers le soutien-gorges !
Mais qui est 'toi', en violet, talons aiguilles, accroches-coeurs, regards en coin, souriante, riante, jupe fendue, rouge à lèvre... ?
Ton fantasme ? Hé hé, joli fantasme...
A défaut de salle de danse, tu nous as entrainé dans ta salle de bain. On y reviendrait bien chaque dimanche, histoire de connaître la suite de l'histoire...

Arnal, bravissimo.
(et merci pour le Kusturica)