Merci beaucoup d'avoir pris le temps les amis

Je copicolle les paroles à continuation et j'en profite pour vous poser cettte petite question ludique (pour ceux qui, comme moi, n'ont vraiment que ça à faire

)
Combien d'animaux différents peut-on recenser dans cette chanson ? 
(le phoque, par exemple, y est deux fois)
C’était un french Pélicancan, fier comme un phoque, brave comme un faon
Costaud et têtu comme un coq, encore plus futé qu’un élan
Dans sa mémoire de crocodile il n’y avait qu’des larmes d’éléphant
Depuis qu’une souris à sonnette l’avait plaqué pour un merlan
Survint un Kangourou-garou, fort comme une taupe, gras comme un loup
Aussi malicieux qu’une linotte mais encore plus myope qu’un mérou
Il taquinait les ours mouillés, les lièvres et les poules mal-léchées
Et aimait poser des grenouilles à des lapins de bénitier
Elle était bavarde comme une carpe il se pavanait comme un toucan
Ils se regardaient en chats d’faïence, soufflant comme des orangs-outans
Il était frileux comme un loir et il faisait un froid de cochon
Alors Ils jouèrent à saute-canard pour se réchauffer les arpions
L’kangourou-garou n’aimait pas courir deux tortues à la fois
Mais il tomba amoureux fou de ses beaux yeux de cancrelat
Elle était chaude comme un goujon, il était timide comme un lion
Chaque fois qu’elle mordait son hameçon, il rougissait comme un mouton
Alors le French Pelicancan épousa l’kangourou-garou
Ils eurent des tas de petits nenfants, doux comme des rats, beaux comme des poux
Comme ils n’aimaient pas les mouflets Ils les emmenèrent dans la forêt
et les replantèrent dans une clairière pendant que les coucous roucoulaient
Bien sûr c’est triste quand des blaireaux se font passer pour des rascasses
Et c’est vachement plus rigolo de regarder des trains qui passent
La morale de cette chouette histoire, c’est que même saoul comme un castor
On peut sauter du phoque à l’âne... on arrive toujours à bon porc.