Alaouet nous a joué Suzanne de Léonard Cohen, qui existe en français par Graeme Allwright (suzanne t'emmène

)
En voici une autre à étudier !
Avec l'aide de Gibs - Voir la partition
https://drive.google.com/file/d/1z-_HUIuNIa3HyxQIH_H5kTMVU1L25uIH/view?usp=sharingTon : La - Picking
Am7 la mi do - C do mi do - Dm la fa ré - Em7 si fa# ré peut glisser vers G si sol ré -
Am7 + fa C
Tous les hommes que tu as connus, Te disaient qu'ils ne voulaient plus
Dm Am7
Donner les cartes, Pris comme dans un piège
Em7 Am7
C'est dur de retenir la main, D'un homme qui cherche plus loin
Em7 Am7
Qui veut atteindre le ciel, Pour se livrer,
Em7 Am7
Et Qui veut atteindre le ciel, Pour se livrer,
Am7 + fa C
Puis ramassant les cartes, Qui sont restées là sur la table
Dm Am7
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, Pas même son rire
Em7-G Am7
Comme tous les joueurs il cherchait, La carte qui est si délirante
Em7-G Am7
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre,
Em7-G Am7
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre,
Am7 + fa C
Un jour penché à ta fenêtre, Il te dira qu'il veut renaître
Dm Am7 G
Au monde que ta tendresse lui cache, Et sortant de son portefeuille
Am7 G Am7
Un vieil horaire de train il dit, "Je t'avais prévenu, je suis étranger"
G Am7
"Je t'avais prévenu, je suis étranger"
Am7 + fa C
Maintenant un autre étranger, Semble vouloir que tu ignores ses rêves
Dm Am7
Comme s'ils étaient le fardeau de quelqu'un d'autre,
G Am7
Tu as vu cet homme déjà, Donner les cartes avec son bras en or
G Am7
Mais maintenant tu vois sa main est figée,
G Am7
Oui maintenant tu vois sa main est figée
idem
Mais tu n'aimes pas regarder, Un autre homme fatigué
Déposer toutes ses cartes comme une défaite
Tandis qu'il rêve jusqu'au sommeil, Dans l'ombre tu vois comme une fumée
Une route qui monte derrière sa tête, Une route qui monte derrière sa tête
Tu lui dis d'entrer et de s'assoir,
Mais en te retournant tu vois Que la porte de ta chambre reste ouverte,
Et quand tu prends sa main il dit : "N'aies pas peur ma tendre amie
Ce n'est plus moi ô mon amour l'étranger,
Ce n'est plus moi ô mon amour l'étranger,
J'ai attendu toujours certain, De te revoir entre les trains
Bientôt il va falloir en prendre un autre, Oh ! je n'ai jamais eu tu sais
Pas le moindre plan secret, Ni personne pour me conduire
Et tu te demandes ce qu'il cherche à dire, Oui tu te demandes ce qu'il veut dire
En bas au bord du fleuve demain, Je t'attendrai si tu veux bien
Là, tout près du pont qu'ils construisent
Puis il quitte le quai pour un wagon-lit, Tu sais qu'il cherche un autre abri
Qu'il n'avait jamais été un étranger, Qu'il n'avait jamais été un étranger
Et tu dis "d'accord le pont ou bien ailleurs je viendrai" (parlé)
Puis ramassant les cartes, Qui sont restées là sur la table
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, Pas même son rire
Comme tous les joueurs il cherchait, La carte qui est si délirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre,
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Un jour penché à ta fenêtre, Il te dira qu'il veut renaître
Au monde que ta tendresse lui cache, Et sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train il dit, "Je t'avais prévenu, je suis étranger"
"Je t'avais prévenu, je suis étranger" "Je t'avais prévenu, je suis étranger"
"Je t'avais prévenu, je suis étranger" "Je t'avais prévenu, je suis étranger"
(la chanson explore l'idée d'être un étranger sans contrainte, qui veut atteindre le ciel, puis d'un autre étranger qui veut cacher ses rêves. Mais le changement et l'épanouissement peuvent être trouvés dans des endroits inattendus)