mes doigts à peine boudinés ne sont évidemment pas en cause, ni leur dextérité légendaire, ni (allez, oui, osons le mot) leur tact magique, non plus que ma collection d'instruments plus précieux les uns que les autres, Ohana, Kala, Lanikai, pineapple Bob l'Éponge, j'en passe et des meilleurs, mais force fait loi, et je dois m'incliner devant le Maître ; ce qui vient d'être posté ici est indépassable ; je me retire dans ma grotte humide et abandonne comme naguère un président la vie ukélistique.
adieu.