Merci à tous, j'avais envie de partager ce premier essai avec vous.

Pour ce qui est du souffle, vous ne parlez pas de la même chose.
Bernie met en avant le côté venteux du ney.
C'est important à capter, car c'est ce qui fait l'identité de l'instrument.
Maintenant, on entend souvent trop de vent sur mon enregistrement et pas assez de son, surtout dans les graves.
Manque de pratique et de lâcher prise devant le micro. Ça viendra.
Par contre, ce que me reproche Leïla, c'est de respirer comme un porc asthmatique dans le micro (je schématise

).
Là-dessus, je serais plutôt d'accord avec Milton : pour ce genre de morceaux spontanés, il est bon d'entendre le musicien respirer. On n'est pas des machines !
Mais (de l'art d'être d'accord avec tout le monde), Leïla a raison de dire qu'on m'entend trop.
Trois solutions :
- coups de ciseaux en postprod : bof, ça m'arrive, mais pas là
- placer le micro plus loin : c'est ce que fait Niri dans la vidéo de Bernie (regardez ce dont il est capable,
le bougre)
- apprendre à respirer (plus efficacement, moins bruyamment et au bon moment) : c'est un des nombreux points qu'il faut que je travaille !
Pour ce qui est d'avoir mal aux épaules : non, ça va, le ney est très, très léger, on le sent à peine sous les doigts.
Si vous voulez que je vous fasse une présentation plus précise de l'instru, faites-moi signe. C'est assez technique, mais passionnant !