Tu te trompes lourdement, je ne suis pas comme ça... ni cancaneuse, , ni médisante, ni moqueuse.
Je me souviens... un jour devant ma maison, je devais avoir 10 ans, un vieux monsieur (la quarantaine, c'était vieux pour moi :p) est passé devant moi à vélo, et il a glissé (il avait neigé)... et j'ai pleuré tellement ça m'avait fait mal au coeur, alors qu'il n'avait rien eu.
Je suis restée la même, Captcha.
Je n'ai jamais dit que tu étais comme ça, et que c'était ta nature profonde (ça ça va attirer Piou Piou) et je sais bien que c'est Milton qui t'entraîne !
Je ne vais quand même pas argumenter pour me défendre de vos sornettes.
Entre nous, ton "système de défense" (tu n'avais pas lieu de te défendre, tu n'étais pas accusée) ne tient pas.
On peut être un monstre et un fou dangereux, et être doté d'une grande sensibilité esthétique et artistique, pleurer en écoutant de l'opéra, avoir de la compassion pour les animaux, et aucune pour les êtres humains...
Pas besoin de chercher très loin : l'assassin de la chanson est inspiré, plein de douceur, et pourtant, ou à cause, il tue celle qu'il aime.