"Le duo qu'on ne fera jamais", c'est tellement chic et romanesque.
D'ailleurs j'ai jamais été le quelconque rêve de quelqu'un je crois, c'est une grande première 
Je suis connectée illégalement alors je ne tarde pas ...
Ben, il faudra bien commencer un jour. En attendant, t'as dû être le cauchemar de pas mal de monde, ça compense, hi hi hi.
Oui, c'est ça, faut pas rester ici - ici c'est des gens bien !
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Je reprends le fil de la narration... dimanche, c'est fait.
Jeudi soir. Une défection une heure avant le rendez-vous : "J'aime mieux aller chez papi et mamy, j'ai peur de m'ennuyer".
Soit. La veille, c'était "Ouais, ça me dit bien". En moins de 24 heures, on peut passer de outsiders à délaissés.
Un abandon en cours de soirée.
Claire, une potesse de l'ancien forum - en manque critique de sommeil (limite sortant d'un nuit blanche et de plusieurs jours de stress), qui a sombré au cours du repas, et qu'on a raccompagnée chez elle.
Merci à Ukelo d'avoir parcouru autant de kilomètres pour nous rencontrer ! Il m'a baptisé "pnc" je crois, vu que je lui avais concocté au moins 3 itinéraires aussi compliqués qu'inutiles. On a eu le temps de papoter et de rigoler en attendant les filles (on se croirait dans une production d'AB Production, non ?).
Claire et Luby sont arrivées bien après, aussi mal en point l'une et l'autre - mais ça été quand même rigolo de faire croire à Luby qu'on l'attendait depuis plus d'une heure.
Ce jeudi-là la météo était exceptionnelle et tout Lyon était de sortie ; si le repas fut très sympa et jovial, le service fut d'une lenteur... Claire était au bord du malaise hypoglycémique qu'elle traitait avec demi et clopes. Bon, tout ça nous a emmené beaucoup plus tard que prévu.
Retour chez moi ; quand on a songé à faire de la musique, ben il était déjà très tard, et on était vraiment pas super d'attaque... fatigue, maladie, crainte des voisins... ben ça a donné des prises de son un peu particulières forcément très intimistes, hésitantes, et improvisées (à moins que ce soit Ukelo qui nous ait entraînés à son insu dans sa surprenante esthétique musicale ; je pense qu'il pourrait travailler de nuit dans une pouponnière et s'entraîner en douce au chant et au ukulélé sans risque de gêner et de s'attirer des ennuis... arriver à chanter et à jouer aussi doucement et légèrement relève d'une authentique performance et d'un style affirmé ;-)
Paradoxalement, il nous a sciés pendant l'infusion en nous parlant d'une envie de reprise : un truc inchantable, en anglais, dont les paroles étaient introuvables alors, avec un débit impossible à tenir même en français tellement ça bastonne et que c'est scandé.
J'essayerai de poster nos deux trios ce soir.
Si certains ont une astuce pour booster des prises de son réalisées sur téléphone avec un volume très faible, je suis preneur.
