Sinon, je préfère la gaieté désespérée de Trenet (mon côté gay refoulé) à la lourdeur moraliste de Brassens (mon côté gai refoulé).

la nose flute est un véritable fléau psychologique

moi j'aime pas trop trénet (mais je connais pas bien en même temps) mais en fait c'est plus cette époque en général qui m'emmerde, le son, les thèmes, je sais pas pourquoi ça me saoule autant que les 80's
Brassens, j'aime beaucoup celles que j'aime bien (une vingtaine) et j'évite soigneusement le reste.
je le trouve sous évalué en tant que mélodiste et sur-évalué en tant que parolier
j'ai bon ?
ps: Georges, on sort pas des testicules du papa, mais du pilou-pilou de la maman (oui je sais: beurk)... juste pour que tu saches
