Bernie suit le feuilleton, peut-être Nabuke-O... le lectorat augmente !
;-)
Je ne viens plus !
Ah ? Je viens peut-être alors.
Ah, tant mieux ! Je savais qu'il y avait pas d'oeufs fêlés chez Lustucru !
Pour Luby, si elle passe par là : elle est bien ta voix sur Like a prayer; on a juste l'impression que tu n'arrives pas à la lâcher complètement. C'est peut-être une question de tonalité, ou alors tu étais encore un peu intimidée par l'aura de Captcha en train de faire sa vaisselle.
En fait au retour de la Demeure de Chaos. Luby n'était plus intimidée : on avait chanté presque à tue tête dans la nature, mais on n'était pas encore ré-échauffés sans doute.
En fait on a été ok sur Five foot Two.
Après sur le 3ème qu'on a enregistré, Luby déclinait de prise en prise, et moi aussi en fait. Ca fatigue de chanter.
Du coup la seule prise complète du dernier morceau (enfin, essai) enregistré ce jour-là est la moins bonne (c'est le duo avec restes d'anesthésie du dentiste).
On en faisait encore une, Luby s'endormait debout, et elle baillait déjà à s'en décrocher la mâchoire.
Ohhhhh mais il est troooop bien ce fil.
Merci Captcha super chroniqueur. C'est extra de te lire.
On est avec vous et les enregistrements sont tip top bien dans le ton... Émouvants et charmants, drôles et tendres.
Je regrette qu'une chose : ne pas avoir été avec vous (et je ne parle même pas de tes accessoires dans la cuisine...).
;-)
En fait je me demande si avec toi on n'aurait pas été hyper intimidés pour chanter...
"Tiens ça te dit de faire quelques mesures avec moi ?"... "Euh, non merci Milton, j'ai mal à la gorge, et je préfère t'accompagner ;-)"
attention, j'arrive...
bon, pour le moment je suis en phase avec la narration (par contre on avait dis pas d'atteinte au physique, ça ne se fait pas).
Même si c'est pour dire du bien ? Ok, je n'écrirai plus dans le fil ce que j'ai écris sur toi un peu plus haut !
C'est bizarre la narration en fait... le fait de raconter, de re-présenter (en fait des choses toutes simples et quotidiennes, la vie courante : des personnes se rencontrent, partagent un repas, tentent de faire de la musique) ça devient une sorte de roman, haut-en-couleurs, qui prend son autonomie, comme ça, l'air de rien, et le simple fait d'avoir été absent provoque la curiosité et l'intérêt.